quinta-feira, 4 de dezembro de 2014

Une échelle 1:1

Bonjour Anuska!

Tous les jours, je lis un peu de Proust et un peu du livre des cartes. Il y a une séparation naturelle, ici une lecture un peu plus lourde, là-bas une lecture plus léger. Marcel est le lourd quand même pour la difficulté de la langue.

D'ailleurs, très important votre phrase à propos des cartes: "en vérité, peut-être il n'y a pas assez d'espace sur un morceau de papier pour réfléchir notre vision du monde".

Cette phrase me suis fait souvenir d'un conte de Calvino (dans le livre "Les Villes Invisibles). Un roi, peut-être le propre Khan, je n'ai souviens pas, demande une carte très exacte de ses domaines. Ses fonctionnaires préparent une carte qui est de la même taille des choses existantes.

C'est que nous appellons - dans une language technique - une échelle 1:1. Évidemment, c'est une carte impossible et inutile.

Donc, j'ai trouvé au livre des cartes ça même annotation à propos de la carte parfait, à l'echelle 1:1. Cependant, l'auteur cite deux contes qui parle sur ce sujet, un de Borges, l'autre de Lewis Carroll. Je me demande si il ne connait pas le conte de Calvino et, aussi, si Calvino et Borges ont connu les contes, l'un de l'autre.

Une autre annotation très intéressant est que une "carte du monde" n'est pas utile - aucun utilise une carte du monde pour aller d'un lieu à autre. Elle est toujours une vision du monde.

C'est tout, au revoir,
Paulo

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