quinta-feira, 4 de dezembro de 2014

Claire de Lune

J’adore cette période du mois, quand j’entre dans ma chambre et il y a une grande luminosité sur l’oreiller: mon lit et ma table de chevet sont au-dessous de la fenêtre et la lune est presque pleine! Quelquefois, je m’éveille pendant la nuit pour cette même raison.

Je ne me souvenais plus de cette histoire dans le livre de Calvino! Peut-être, il est un bon choix pour une prochaine lecture. Je veux lire Cosmicomics: ça fait deux ans que je l’ai commencé mais, après, le livre a disparu: pourtant il est encore en suspens dans mon cerveau. Et, coïncidences: 1) hier, j’ai lu que cette mois Marco Polo sera le personnage principal d’une série télévisée sur Netflix; 2) le premier conte du livre de Calvino s’appelle “La distance de la lune”.

C’était drôle: j’ai lu le titre de ton postage et j’ai pensé: "qu’est-ce qu’il a monté?" KKKKK Pour moi, échelle était seulement un type de escalier mais... je viens de lire mon cahier et j’ai écrit au début du semestre: “escada/escala: échelle; escalier, escabeau”.

En même temps, c’est curieux les références: il semble que nous attendons toujours quelque chose mirabolante de Borges, mais Carroll... c’est presque impossible de penser quelque autre livre qui n’est pas Alice au pays des merveilles. Ton livre est très intéressant! Il a plusieurs d’informations que enrichissent la façon de faire les cartes.

Pour finir, une des mes leitmotifs préférés: EV-M!


"Hace unos años comenzaron a aparecer unos graffiti misteriosos en los muros de la ciudad nueva de Fez, en Marruecos. Se descubrió que los trazaba un vagabundo, un campesino emigrado que no se había integrado en la vida urbana y que para orientarse debía marcar itinerarios de su propio mapa secreto, superponiéndolos a la topografía de la ciudad moderna que le era extraña y hostil.
[...]
Y entonces cuando todo haya terminado, dejar que el lector proceda de forma opuesta y simétrica a la del vagabundo de Fez y que, con cierta locura cartográfica, actúe como Opicinus, un sacerdote italiano de comienzos del trescientos, cuya obsesión dominante era interpretar el significado de los mapas geográficos, proyectar su mundo interior sobre ellos -no hacía más que dibujar las formas de las costas del Mediterráneo a lo largo y a lo ancho, superponiéndole a veces el dibujo del mismo mapa orientado de otra manera, y en estos trazados geográficos dibujaba personajes de su vida y escribía sus opiniones acerca de cualquier tema (...)."
 


Enrique Vila-Matas | Suicides Exemplaires.

Nenhum comentário:

Postar um comentário