terça-feira, 28 de abril de 2015

L'histoire du Brésil dans les rues de Paris

Mon frère, qui s'appelle Antonio mais que nous appellons "Maninho" (petit frère, en portugais), m'a donné le livre "A História do Brasil nas Ruas de Paris" (L'histoire du Brésil dans les rues de Paris), auteur Maurício Torres Assumpção.

C'est un livre amusant, plein de curiosités pour ceux qui conaissent (un peu) l'histoire du Brésil et la ville de Paris. En fait, ce livre révèle mon ignorance sur beaucoup de choses de l'histoire de mon propre pays.

Cependant, l'auteur écrit parfois désagréablement. Il méprise le lecteur - comme si nous étions des ados de Facebook - quand il compare des faits historiques avec des jouers de foot et sous-célébrités contemporaines.

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Je ne suis pas à lire en français, ces jours, c'est trop pour ma petite tête. C'est mieux une lecture plus léger, plus facile. Pourtant, j'ai vu de nombreux programmes en français dans la Tv5Monde.

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J'ai l'impression que ton travail est inférieur à ton intelligence et capacité. Quittez, recherchez un autre.

segunda-feira, 27 de abril de 2015

La douleur a diminué, un peu. Le corps et l'esprit se récupèrent toujours. Nous ne sommes pas astéries mais une petite coupure est facile de reconstituer.

N'est pas facile rester beaucoup de temps en face de l'ordinateur. Je m'occupe de regarder des films, de lire un peu, pas étudier, de planifier des routes du prochain voyage.

C'est un vieux but: suivre le fleuve Rhin, voir toutes ces villes célèbres, Koln, Worms... Mais avant, un peu de Flandres et un petit peu du Pays-Bas.

Dans le même temps, je pense déjà le voyage suivant: la Scandinavie ou la Croatie?

sábado, 25 de abril de 2015

Une chirurgie

Le jeudi, 23 Avril, j'ai fait une petite chirurgie. Il y a deux mois, j'ai commencé à ressentir de la douleur dans la région de l'aine, pendant mes balades à vélo. Pas une douleur, exactement, mais une sensation de brûlure. C'était une hernie inguinale.

Le médecin a dit que ce n'était pas urgent faire la chirurgie, mais comme je vais voyager à vélo bientôt, j'ai préféré faire ensuite.

C'est la première fois que quelq'un coupe mon petit corps.

Je suis allé à l'hôpital le jeudi et le vendredi je suis rentré chez moi. Évidemment, c'est douloureux faire n'importe quel mouvement. Je me souviens, maintenant, de ces films où le comédien prend un coup de feu, il fait une chirurgie dans des conditions d'hygiène pauvres et, ensuite, le comédien part en fuyant des les ennemis!

Je vais rester 30 jours sans travailler. C'est facile. Je vais rester 30 jours sans pédaler. C'est difficile. Mais, ce temps peut être moins. Voyons!

quarta-feira, 22 de abril de 2015

Le jour férié

Salut, Paulo!

C'est vrai: tu est allée à la piste cyclable dans un horaire d'embouteillage! Je préfère faire du vélo un peu plus tôt dans ces pistes - cette horaire, après 10h du matin, c'est l'horaire que les gens sont plutôt dans la rue. C'est très lent.

Tu as raison quand tu râles sur cette habitude de suivre seulement le même chemin suggeré par la Mairie. Mais, je crois que c'est à cause de l'insecurité dans la circulation et dans les rues aussi. Nous sommes si loin d'avoir quelque ordre ou quelque envie de changer d'avis...

Je dois admettre que je suis très nerveuse ces derniers temps, en raison de cette dernière fois où je me suis fait voler. Il a fallu un peu de temps, mais je pense que c'est une réaction tardive: j'ai peur quand je suis dans le bus - ici à Boa Viagem des petits vols sont récurrents. Quand je fais du vélo le soir - pour aller à l'Alliance ou chez des amis - les deux gamins que m'on volé étaient à vélo. Je n'ai pas arrêté mes activités, mais c'est un peu plus difficile maintenant. Je dis ça parce que je voudrais faire des chemins plus intéressants à vélo, mais je n'ai pas le courage. Au moins, pas dans ce moment.

terça-feira, 21 de abril de 2015

Une balade léger

Aujourd'hui, un jour férié au Brésil, je me suis réveillé tard et paresseux. Près d'onze heures du matin, j'ai quitté chez nous avec ma femme, Eliane, pour faire une petite balade à vélo. En partie, nous avons suivi la piste cyclable de dimanches et jours feriés - mais cette piste cyclable est fastidieux parce que il y a de nombreux cyclistes amateurs. Nous préférons faire nos propres choix, nos propres routes. Mon restaurant préféré dans le centre-ville, le Villa Vecchia, était fermé. Nous avons déjeuné ailleurs. Après, nous avons pédalé pour des nombreuses rues du centre-ville - rues complètement désertes. Les cyclistes amateurs, de dimanches et jours feriés, ont peur d'explorer le centre-ville, et ils restent limités à la route conçue par la Mairie.







segunda-feira, 20 de abril de 2015

Le Vieux Pont

Ce matin, j'ai passé le bâtiment où je travaille et je suis allé faire une petite promenade autour du centre-ville. À Recife, nous avons un pont qui s'appelle le Vieux Pont. J'ai fait quelques photos là-bas.



Les jours avant le jour férié

Aujourd'hui, je n'ai pas de travail: le bureau suit l'agenda du chef, et il est hors de l'état en raison de quelque événement du parti. Moi, j'ai aimé cette coïncidence!

Hier matin, je suis allée à vélo jusqu'à Piedade. Il y avait presque un mois que je ne faisait pas du vélo. J'ai sorti chez moi en pensant d'aller jusqu'au Marco Zero: mais, c'était encore tôt, donc je pensais: "Jusqu'au Pina, c'est bon". Mais, je ne pouvais pas m'arrêter. Cette fois j'ai découvert que la liason parmi la piste cyclable de Boa Viagem avec la [toute petite] piste cyclable de Piedade était prêt: j'ai continué sur le chemin et j'ai connu la petite église de Piedade. Je ne savais pas qu'elle existait, et elle est au bord de la mer! C'est dommage que je n'apporte plus mon portable dans mes promenades, parce que je voudrais prendre une photo.

OUAAAAIS \o/, cette nouvelle est super! Faire de nouvelles rencontres pendant ce voyage sera un éffort nécessaire pour moi, mais reconnâitre des amis sera une joie!

Au boulot

Demain, c'est un jour feriée en Brésil. Aujourd'hui, je suis au travail, normalement. Au boulot à vélo. Je déteste cette expression en anglais "bike to work" - mais, c'est évident, elle est employée couramment.
 
Mes lectures ont été interrompus par l'arrivé des livres du Professeur Alfredo. Je m'accrochais avec son autobiographie, très intéressant, et je l'ai lu presque d'une seule fois. Le Professeur est une personne très cultivée et inteligente. Je suis allés avec lui deux fois au Portugal. Il m'ai laissé impregné de "saudade" et "fado".
 
Comme je vous l'ai dit partiellement, nous arriverons à Bruxelles le 24 Juin pour commencer notre voyage à vélo. Je pense connaître une partie de Flandres, entrer dans le Pays-Bas, rencontrer le fleuve Rhin et suivre le fleuve pour l'Allemagne jusqu'à Strasbourg. Peut-être, entrer pour l'Alsace et, après, prendre un TGV à Paris et y rester quatre jours, plus ou moins.
 
Certes je veux te rencontrer à Paris. Bisous!

domingo, 19 de abril de 2015

Bilan littéraire

Ciao, Paulo!

Ton petit groupe fait des grandes balades, n'est-ce pas? ;) 

Cette semaine j'ai fini la lecture de deux livres: Le premier était Las películas de mi vida, de Alberto Fuguet. Un ami m'a indiqué ce livre, parce qu'il l'aime: cet auteur est chilien, et l'histoire est raconté à partir des films qui le narrateur énumère comme les plus remarquables de son enfance - mélangé avec des événements les plus importants de cette époque-là. Je l'ai trouvé beaucoup intéressant, c'est pas lourde les références dans l'ensemble du texte.
 
J'ai commencé Aconselho-te crueldade, de Fernando Fiorese, après de t'avoir envoyé le conte, "Diário Mínimo". J'avais lu ce livre il y a 2 ou 3 ans. C'était bon de le relire, l'auteur est très précis/concis avec les mots. J'aime bien ça.

Je vais ajouter quelques citations demain!

sábado, 18 de abril de 2015

Une balade à vélo

Notre petit groupe de six cyclistes a laissé la Place Fleming à 6 heures du matin. Nous sommes passés par Apipucos, Avenue Norte et nous avons pris la Route des Singes. Puis nous avons pris la Route Pau Ferro, le Oitenta, nous avons traversé la Route de Aldeia et nous sommes passés à travers les terres de la Usina Petribu. Enfin, nous arrivons à le célèbre Bar do Brejo. Après avoir mangé deux "arrumadinhos", nous retournons pour la Usina Petribu et pour chemins de terre jusqu'à le km 7 de la Route de Aldeia. De là, nous avons suivi pour l'asphalte jusqu'à nos maisons. Une balade de 78 km.

quinta-feira, 16 de abril de 2015

Des films

Salut, Paulo!

Récemment, j'ai vu deux films: 8 femmes [2002] et Au risque de se perdre [1959].

Le premier c'est bon, mais bizarre. J'ai rigolé quand même. C'est une comédie musicale de suspense. Ou une suspense musical comique. Ou... Il y a des grandes actrices dans ce film: Catherine Deneuve, Fanny Ardant, Isabelle Huppert, Emmanuelle Béart. Et chacune des femmes ont une scène musicale: c'est "brega", et c'est pour ça que j'ai beaucoup ri. Le scénario est curieux, amusant.

Le deuxième c'est un film avec Audrey Hepburn - c'est un autre DVD que j'ai acheté pour ma collection. Et ce film m'a surpris: c'est l'histoire d'une jeune femme que devient soeur dans un ordre très rigide. Il montre qu'est-ce que sont les dilemmes entre ce qu'il faut faire pour être "une bonne soeur" et ce qu'elle voudrait faire pour sa propre réalisation: elle essaie de trouver l'équilibre parmi les deux, en croiant que cela c'est la façon la plus juste d'aider les autres et elle-même - mais les choses vont changer après le début de la guerre... Tout le temps, quand elle était dans une situation compliqué, dans une "croisée", je pensais: "Pas possible pour moi. Pas du tout". Le mot-clé serait: l'orgueil. C'est fort, je vais essayer de le revoir ce week-end. 

À plus!
 
"Do good, then disappear"

terça-feira, 14 de abril de 2015

Le maire de Recife

Aujourd'hui, par hasard, j'ai presque tombé sur le maire de Recife. Le maire vit dans le quartier de Torre et je étudie le Français dans le même quartier. Le maire faisais sa promenade matinale.
 
Je me demande comment peut-on être maire et marcher dans de mauvaises trottoirs de la ville sans se déranger?
 
Recife n'a pas un seul trottoir approprié et le maire fait sa marche tranquillement. La ville n'a pas maire. En fait, Recife n'a jamais eu un maire. Toutes les personnes qui ont occupé le fauteuil du maire l'ont fait seulement pour leur propre bénéfice. La ville est, et a toujours été, à son sort.
 
On peut remarquer qu'il n'est pas l'éternel manque d'argent qui devient inefficaces des maires. Il y a plusieurs solutions bon marché pour améliorer la qualité de la ville. Le pire problème est l'absence totale d'intérêt des maires.

sexta-feira, 10 de abril de 2015

Des chemins différents

J'essaie de faire des chemins différents chaque jour. Chez moi au travail, du travail chez moi. Aujourd'hui, je suis allé pour la Avenue Norte. Dommage, de nombreuses voitures et grand embouteillage. Après le travail, je suis retourné pour l'intérieur du quartier de Santo Amaro, je suis passé près du cimetière, j'ai traversé l'avenue Agamenon Magalhães et j'ai suivi pour des rues résidentielles au nord de l'Avenue Norte. Des rues relativement calmes. En fait, j'ai trouvé une piste cyclable dans la rue Courage (Coragem en portugais). Je ne savais pas cela existait telle piste cyclable. Le gros problème est que cette piste cyclable est court et pas plus loin. La Mairie de Recife est lâche, couard, et favorise les voitures.


quinta-feira, 9 de abril de 2015

Traduction

Voyager ! Perdre des pays !
Être constamment autre,
Car l’âme est sans racines
Si elle ne vit que de voir !

N’être à personne, fut-ce à moi !
Aller devant, aller suivant
L’absence d’une fin fixée,
Et de la soif d’y parvenir !

Il n’est de voyage qu’ainsi.
Mais je le faire sans rien de mien
Sinon le rêve du passage.
Le reste n’est que terre et ciel.

Fernando Pessoa [1933].

quarta-feira, 8 de abril de 2015

Bigre

Bigre! Je ne t'ai recommandé pas aller au hiver, je t'ai dit que - dans l'été - tu pourrais oublié les musées, au moins un peu...

terça-feira, 7 de abril de 2015

La ville vivante

Je pense que le printemps et l'été - dans l'hémisphère nord - ne sont pas des moments appropriés pour rentrer dans les musées. Les villes, l'ambiance, ce deviennent tellement plus beau qui vous donne envie d'être tout le temps dans la rue. Des nombreux parcs, des pelouses, des arbres, des fontaines, l'eau, le soleil, tout nous invite. Le musée est chose d'hiver, des jours nuageux, de recueillement. Et ce délicieux sentiment de ne rien faire, juste regarder les gens, pas pressé, s'asseoir sur l'herbe, sur la rive des fleuves célèbres. Il est bon même oublier des objectifs comme de monter telle ou telle ancienne tour. La ville vivante est ci-dessous, dans les ruelles, les parcs, la ville est se perdre dans lui. Dans des monuments et des musées, les files d'attente et des foules de touristes ignorants. Le voyageur a toujours le temps de s'asseoir sur le banc d'un pont et de regarder l'eau qui passe - et les gens et les bateaux. Le touriste n'a pas le temps pour rien.
 
Pour moi, c'est un devoir lutter contre le courant commun et puissant des gens sans temps, ceux qui veulent courir, ceux qui ne s'arrête jamais pour voir le monde.
 
Depuis quelque temps, j'ai modifié la façon dont je fais mes chemins dans la ville. J'ai commencé à éviter le chemin plus droit, le plus direct, le plus facile, le plus uniforme. J'ai commencé à rentrer dans les rues qui ne sont jamais entrées, de trouver des ruelles et des rues cul-de-sac, à découvrir des connexions qui n'imaginait jamais. Peut-être, avec cela, avec ce découvrir connexions, je passe moi-même à penser différemment.

segunda-feira, 6 de abril de 2015

Tendence

Tu me parles de la procrastination (d'accord Larousse, "tendence pathologique à différer, à remettre l'action au lendemain"... et ce "différer"? "Eloigner l'acomplissement de quelque chose, remettre, retarder, renvoyer à plus tard".

Toute définition est tautologique.

(Par ailleurs, je suis em désaccord avec ce mot "pathologique"... La procrastination est notre destin.)

Le week-end, que j'ai passé à l'interieur de Pernambouc, m'ai laissé très réfléchissant. Il y a beaucoup de lieux très belles, très interessantes, très curieux au Brésil et en Amérique du Sud et je n'ai d'yeux que pour le "monde civilisé".

Dans un sens, j'ai peur de l'immensité du Brésil et d'une insécurité réelle ou imaginaire.



quarta-feira, 1 de abril de 2015

Lourde

Cette semaine est courte et lourde. Il y a la perspective du jour férié, vendredi. Il y a un long rapport d'une mairie à lire et analyser. Ce rapport décrit l'exécution du Programme National d'Alimentation des Elèves dans les écoles de cette ville. Encore, j'ai eu deux consultations médicales. Rien d'étonnant. Le courant est la maladie et la dégénérescence.