terça-feira, 5 de maio de 2015

L’emmurée de la Rue Neuve

L'histoire de L’emmurée de la Rue Neuve n’est-ce pas seulement une légende urbaine de Recife, mais aussi un livre de Carneiro Vilela, un écrivain pernamboucain. Ce feuilleton a été publié dans le “Jornal Pequeno”, tous les jours, de 1909 à 1912.

Le résumé de l’intrigue: Jaime Favais, un riche – rude et vengeur – commerçant, propriétaire de une boutique au rez-de-chaussée d’un sobrado dans la Rue Neuve, découvre que sa fille Clotilde est enceinte de Leandro, un fripon. Et, pour aggraver la situation, il a découvert aussi que Leandro était amant de son épouse, Josefina.

Jaime ordonne de tuer Leandro et, à cause de cela, Josefina est devenue folle. Jaime essaie de marier Clotilde avec son neveu, João, qui travail avec lui. Mais João refuse la proposition. C’est en ce moment là que se produit la terrible punition: il lui attache les mains avec une corde, il lui couvre avec un drap et il lui mettre dans la toilette du sobrado. Un malfaiteur aide Jaime en obligeant un maçon à fermer aux briques la porte de la toilette. 

Après tout cela, Jaime s’enfuit au Portugal et il reste là pendant trois ans. Au cours de cette période, Josefina est morte. Donc, Jaime rentre à Recife et il va habiter au étage supérieur de l’ancien sobrado. Là, il est tourmenté par gémissements éthérés et pour la vision de la “figure blanche et vaporeuse de sa fille”, selon Carneiro Vilela. 

Jusqu’à présent, certains assurent avoir vu cette apparition. Dans l’endroit ont arrivés des phénomènes bizarres [le petit-fils de l’auteur dit que le bâtiment serait le número 200]: les meubles qui bougent tout seul, des frappés derrière les murs, des demandes de secours, des pleurs angoissés, etc.

On ne sait pas la quantité de faits réels que Carneiro Vilela a utilisé pour écrire son livre. Pourtant, il y a des racontes sur des squelettes trouvés derrière des faux murs des sobrados et des vielles maisons de Recife. On ne peut pas savoir si ces gens étaient encore vivant ou s’il serait le cas d’occultation de cadavres. On suppose que ces corps appartenait aux esclaves ou aux membres de la famille touchés par des maladies stigmatisées par la societé: la maladie de Hansen ou la santé mentale, par exemple.

De toute façon, l’halo de mystère ne s’est pas dissipé et l’intérêt demeure encore: le roman de Carneiro Vilela a reçu une nouvelle edition l’année dernière (2014) [les ventes ont été superbes malgré les 518 pages]; une série télévisée a été basé sur le livre, il s’appelle “Amores Roubados”; et il y a aussi une pièce de théâtre très amusante qui parodie la trame, “O Amor de Clotilde por um certo Leonardo Dantas”.

La nouvelle edition du livre

La série télévisée
La pièce de théâtre

Um comentário:

  1. Eu li a Emparedada há muitos anos, na edição antiga - era do meu pai o livro. Paralelamente, lembro que há um prédio no Recife, na av Cruz Cabugá, de onde voam objetos para a rua, arremessados por fantasmas. Não sabia sobre essa série de tv e nem sobre a peça. ;)

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